
© Thomas Braut/TF1
Depuis son dernier 13h sur TF1, le journaliste a troqué les caméras de Paris pour une villa de rêve en Corse, où chaque journée s’écrit en bord de mer et en chantier domestique maîtrisé.
Jacques Legros a trouvé un nouveau rythme. Loin du tumulte parisien, c’est désormais en Corse, près d’Ajaccio, qu’il coule des jours paisibles, dans une maison construite sur mesure, tout en pierres sèches et baignée de lumière. La mer à perte de vue, une piscine entourée de terrasses en bois, un jardin entretenu à quatre mains avec son épouse Valérie : tout dans ce tableau respire la quiétude. « Le jardin, c’est le domaine de Valérie. Moi, je suis mister bricole », glisse-t-il avec malice dans les pages de Gala, heureux de manier les outils autant que la télécommande de la domotique depuis son smartphone.
Cette retraite n’a rien d’un retrait. L’ancien journaliste, qui admet ressentir « un petit deuil du journal », n’a pas dit adieu aux médias. À la rentrée, il retrouvera le micro, pour une chronique radio régulière. Une façon douce de rester fidèle à sa passion tout en profitant d’un rythme plus apaisé. Valérie, elle, continue de jongler avec ses nombreuses casquettes : gastro-entérologue, enseignante à l’École vétérinaire de Maisons-Alfort, chercheuse à l’hôpital Necker. Leur ancrage corse n’exclut donc pas quelques allers-retours vers la capitale, où le couple garde un pied-à-terre.
À l’heure où d’autres redoutent la page blanche de la retraite, Jacques Legros y écrit un nouveau chapitre, fait de bois, de pierre, de silence, et d’équilibre. Un art de vivre à son image : discret, solide et toujours un peu en action.
Fabian FALQUE
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